UN REGIME PARLEMENTAIRE

A la mort de Yun San-Tse (12/07/1959), les 7 familles, sous la pression des autorités de Pékin, décidèrent de confier les rênes du gouvernement au parlement.
Pendant deux ans les 357 membres travaillèrent à la mise en place d’institutions administratives et économiques à même de structurer le développement du pays.
Une chancellerie fut créée pour les affaires criminelles, ainsi qu’un ministère de l’éducation dépendant entièrement de la commission de prospective économique qui, en fonction des besoins de l’industrie, décide des programmes et de numérus clausus d’accession aux diplômes.
En 1962, sous la pression des dirigeants de chaînes de télévisions et de radio, l’unité du parlement fut ébranlé et l’on vit apparaître le premier parti d’opposition : Le grand Conseil des Annonceurs.
Ce parti reprochait aux industriels de ne pas prendre en compte les spécificités de leur « industrie » et de ne pas préparer Ouang Schock à la révolution médiatique.
En réponse à la création du GCA, fut créé la Chambre des Industriels (CDI).
Aux élections de 1963, date à laquelle on peut parler de première réelles élections puisque les électeurs avaient le choix entre deux courants, le GCA réalisa 12% des suffrages.
Aux élections de 1968 le GCA réalisa 35% des suffrages.
C’est en 1993 que le GCA conquit le pouvoir à la chambre et l’a conservé jusqu’à ce jour.
La création en 2012 de la Ligue Sportive laissa croire un temps qu’un troisième courant politique allait naître. Mais jamais les dirigeants de la LS ne voulurent s’engager dans la dure voie de la lutte politique.
Aujourd’hui un nouveau courant, celui des industriels du jeu vidéo, semble être sur le point de voir le jour. Historiquement rattaché au Grand Conseil des Annonceurs, les professionnels du jeu vidéo estiment pourtant qu’ils n’ont pas la juste place que les revenus qu’ils génèrent dans l’économie de la cité leur permettraient d’espérer.

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